La reconversion professionnelle concerne près de 20 % des Français. Aujourd’hui, la recherche de l’épanouissement personnel dans un environnement professionnel est devenue indispensable. Dans cet article, Mes Allocs vous explique tout sur le métier d’orthophoniste si vous souhaitez l’exercer dans le cadre d’une reconversion professionnelle.
La recherche d’un métier lors d’une reconversion est fondamentale. Si vous souhaitez devenir orthophoniste, vous devez avant tout savoir que ce professionnel est un auxiliaire de la santé. Généralement, choisir de devenir orthophoniste est une vocation. Sa mission première est d’analyser, de conseiller et de corriger à la fois des retards de langage, d’apprentissage. Mais également corriger des défauts de prononciations tels que : dyslexie, dysphasie, bégaiement, zozotement.
En tant que professionnel de la santé, l’ orthophoniste peut être amené à travailler en collaboration avec des médecins généralistes ou spécialistes. Il intervient sur prescription médicale auprès des enfants, adultes, personnes âgées, parfois auprès de la fonction publique.
Avant d’entamer votre reconversion et de vouloir faire une école d’orthophoniste, vous devez bien vous renseigner. Réalise un bilan de compétences peut également vous aider à analyser le métier qui vous apportera un équilibre personnel et professionnel.
Vous pouvez également bénéficier d’un accompagnement de Mes Allocs grâce à son service dédié à la reconversion professionnelle !
Dans le cadre d’une réorientation professionnelle, vous pouvez devenir orthophonistes par la voie de la formation continue. Cela pour adultes en préparant le certificat de capacité d’orthophoniste.
Pour pouvoir exercer en tant qu’orthophoniste, vous devez passer par une formation d’une durée de cinq ans. Qui est rattachée à une UFR de médecine. À l’issue de laquelle un certificat de capacité d’orthophoniste (CCO) vous est délivré.
Il existe 19 instituts d’orthophonie en France. Ces écoles ont un nombre de places limité et les candidats à la formation sont départagés par un concours.
À noter : en revanche cette formation pour exercer le métier d’ orthophoniste ne peut se réaliser ni en alternance, ni à distance, et nécessite de passer un concours. Un conseiller Mes Allocs peut vous accompagner dans votre projet de reconversion !
Pour préparer le concours, les enseignements seront les suivants :
Une fois le diplôme validé, un orthophoniste trouve du travail facilement. Que ce soit dans un hôpital ou dans une structure d’accueil pour des enfants et des adultes handicapés ou des personnes âgées.
Le salaire mensuel moyen net d’un Orthophoniste est d’environ 2060 € pour un homme. Et 2000€ pour une femme (environ 33000 professionnels en France dont 5000 en Île de France).
Ces études ne sont pas prises en charge entièrement par le Conseil Régional, contrairement à d’autres formations. Les frais d’inscription sont de 550 euros en moyenne, mais les étudiants boursiers sont dispensés de ces frais.
Cependant, il est possible d’obtenir des aides financières par certains organismes :
À noter : vous devez faire votre demande de financement obligatoirement au moment de votre inscription au concours. Même si vous n’avez aucune certitude de réussite.
Pour devenir orthophoniste vous devez obtenir un certificat de capacité d'orthophoniste que l'on obtient dans un cursus d'études post-bac après un concours d'accès qui comprend des épreuves écrites, des tests psychotechniques et un entretien avec un jury.
Pour devenir orthophoniste, il faut être titulaire du certificat de capacité d'orthophoniste (CCO), qui se prépare en 5 ans (master) dans un centre de formation rattaché à une UFR de médecine.
Pour devenir orthoptiste, il faut obtenir le certificat de capacité d'orthoptiste, qui se prépare en 3 ans (de préférence après un bac scientifique) dans un des 16 instituts de formation rattachés à une UFR de médecine.
Son but est de soutenir les jeunes dans leur recherche d'emploi ainsi que dans leurs démarches d'orientation professionnelle, d'accès à la formation, à la santé, au logement, aux droits, à la citoyenneté et à la mobilité.
La Mission Locale peut proposer des aides au financement du permis de conduire pour des jeunes entre 18 et 25 ans, ne disposant pas de ressources suffisantes
Avec le CPF, vous pouvez passer des certifications d'anglais afin d'évaluer votre pratique dans le monde professionnel. À cela s'ajoute des formations axées sur le numérique et la maîtrise des logiciels de bureautique.